Un livre poétique et décalé mais plein de bonne humeur, influenceur d' ondes positives.

Trois personnages atypiques: 

Basile, un inventeur décalé et sa boutique d’ objets provocateurs d’ émotions,

Guilia, un « nez » cantonné dans les fragrances d’ hygiène,

et Arthur,  un ado fâché avec le système scolaire mais pro du tag urbain.

Leur rencontre – silex va faire des étincelles.

J’ ai retrouvé la poésie des néologismes de Boris Vian dans « L’ Ecume des Jours » où il parlait du pianocktail et du nénuphar qui voulait croître dans le poumon de son héroïne. Je vais peut être me le relire pour la xième fois...

Là, Basile a tout un vocabulaire bien à lui : audacité mixte entre audace et ténacité, et forcément les audacieux qui au singulier donne audaciel. J’ adore ! Je crois bien être une audaciel…

Ce livre est l’ histoire d’ une boutique qui suscite le désaccord de Louise Morteuil qui croit et campe sur ses valeurs : « Cadre Culture Civisme », et qui n’ aura de cesse de mettre des bâtons entre les pattes du Zèbre du Bazar .

Basile invente des objets, la Tag box, les Brain Bornes…. Cela dérange Louise Morteuil mais d’ autres font faire la renommée de la boutique.

Au final qui gagnera ?

En conclusion, que chaque lecteur trouve son propre « ADN », s' affirme dans sa singularité, trouve son essence.

A ffirmer son identité et ses singularités

D évelopper ses talents spécifiques

N ourrir la confiance en sa valeur propre

L'ultime audace, n'est-ce pas d'oser le bonheur d'être soi ?

Voilà bien longtemps que je n' avais repris cette technique et ça fait du bien d' y revenir. C' est le "crazy" et la technique de couture sur intissé.

Je ne sais faire cette méthode que pour le crazy où les morceaux de tissus sont totalement irréguliers.

En principe c' est la couture machine qui est privilégiée, mais là, ce bloc a été cousu entièrement à la main:

Une fois terminé, quelque chose me gênait dans cet ensemble...  Après une nuit de réflexion, j' ai modifié mon bloc:

Cela me semble plus équilibré.

La logique de cette technique veut qu' à chaque morceau de tissu soit ajoutée une broderie chevauchante comme sur l' exemple ci dessous:

. Je le la réaliserai pas, car le bloc serait trop "embelli" par rapport aux autres.

Le contrat était de terminer ce bloc par un tour extérieur vert. Contrat rempli bien que ceux de mon futur sampler ont pratiquement tous un extérieur blanc. J' ai donc choisi un vert clair qui s' accordera mieux avec les bandes de séparation à prévoir.

Je ne sais pas si je dois classer cet article dans "Mes Bidouilles" ou dans "La papotière"....

Bref, une envie de faire autre chose qu'un bloc du sampler m' a traversée la tête et mes doigts ont eu l' idée de tracer un patron, pourtant dans la langue de Goethe. J' ai réussi à m' en sortir avec Reverso. Au bout de quelques heures, ça a donné ça:

Paulette et Huguette, deux jolies poulettes montant la garde auprès des oeufs de Pâques dans le jardin.

Un peu plus loin il y avait aussi Cosette, un mini gabarit devant mes M&M® préférés, les bleus qui crispysent sous les dents.

Mais c' est vendredi aujourd' hui,,. effort de non gourmandise obligé, alors je vais essayer d' attendre dimanche pour piocher dans le panier.

J' aime quand je reçois une lettre dodue que je n' attends pas. 

Cette fois - ci c' est Claude, une amie de Lorraine qui m' a envoyée des sables du monde.

Des sables d' Allemagne , de Belgique, d' Ecosse et des Emirats Arabes Unis.

Il y avait aussi des gourmandises: des bergamottes! J' adore et je n' ai pas eu le temps de faire la photo, l' envie a été trop forte, je les ai dévorées.

A propos de sables, je me suis aperçue récemment que j' avais dépassé les 1000 échantillons! Je n' ai pas repéré le 1000ème, c' est dommage...

Au prochain compte "rond" je note l' élu!

J’ avais découvert cet auteur avec «  La vérité sur l’ affaire Harry Québert » et « La disparition de Stéphanie Mailer », mais à l’ époque je ne résumais pas mes lectures ici. C’ est dommage…

Voilà qu’ un nouveau roman est sorti, un pavé de près de 600 pages. Ça tombe bien en période de confinement : une dose de lecture entre deux doses de patch … ou inversement.

Eté 2018, l’auteur Joël Dicker a besoin de se ressourcer après le décès de son ami et éditeur, Bernard de Fallois, et sa séparation d’ avec Sloane.

 Il part donc pour sa Suisse natale et choisit un palace du Valais à Verbier. Après s’ être enregistré et avoir été reconnu, un groom l’ escorte à sa chambre au 6^ème étage . Il s’ étonne que les numéros sur les portes ne suivent pas un ordre logique : 620, 621, 621 bis, 623. Pourquoi pas de chambre 622 ?

Le soir après son dîner, admirant la vue depuis le balcon de sa chambre, l’ Ecrivain est reconnu par sa voisine de chambre, elle aussi sur son balcon, celui de la chambre 621 bis.

De leur interrogation commune à l’ absence de chambre 622 va déboucher une enquête policière sur un meurtre. Qui a tué ? Pourquoi ?

Intrigues amoureuses, luxe, jalousie et trahisons, identités multiples, voyages, travestissements, banques et banquiers, services secrets ou pas, liens pères – fils, espionnage, guerre de succession, remplissent les pages de ce livre où se mêlent les temporalités: le présent, et les passés avec un S.

On passe de 2018 avec le présent de l’ Ecrivain et de son acolyte Scarlett, et aux passés, celui d’ il y a 15 ans quand il existait une chambre 622, avant le meurtre, après le meurtre. On finit 3 ans après ce crime, pour « retomber" dans un autre présent.

Pas facile mais tellement addictif que l’ on va au bout pour savoir qui a tué, pourquoi et comment. Tout est là pour créer une série à suspen ou un film à rebondissements.

Et on est surpris, étonné, voire sidéré par le dénouement!

Je n' avais pas trouvé qui avait fait quoi, je ne suis pas bonne enquétrice...