Alors là, j’ y suis allée les yeux fermés car j’ avais aimé pour ne pas dire adoré les 7 précédents romans de cette auteure. Je ne me suis même pas étonnée de la couverture du livre. J’ aurais dû…
Le graphisme da la vraie couverture d’ origine m’ aurait peut être mis la puce à l’ oreille non, à l’ œil.
J’ y suis allée « franco » et je me suis dit dés les premières pages, que ce récit devrait plaire à Nicole et Antoine, tous les deux profs de maths. Finalement c’ est un doux mélange de, calculs, de science – fiction, de policier et d’ eau de rose teintée d’ eau de mer. J’ ai appris des tas de mots nouveaux : fractale, badass, fricotine, nerd, képlérien, polytope…
J’ ai eu du mal à entrer dans l’ histoire, mais une fois dedans, c’ est allé tout seul.
Les précédentes lectures, c’ étaient de doux bonbons sucrés qu’ on hésite à croquer pour qu’ ils durent plus longtemps. Là c’ est plus acidulé, et bien moins mathématique que ce que je redoutais au début. Pas déçue juste déroutée.
J’ ai encore un livre de Jenny Colgan à lire, dont la couverture est dans le style des premières, avec des dessins naïfs, voire enfantins. Après la Petite Boulangerie, le Cup Cake Café, la Cuisine, elle va me plonger dans une bibliothèque.
Donc à bientôt.